La Theorie de la Traduction

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L’interprétation de conférence

Marianne Lederer & Danica Seleskovitch – fondatrices de la thèorie interprétative.

Sont 3 étapes dans l’interpretation : - comprehension ; - déverbalisation( on oublie les mots, on retient le sens) ; - réexpresion.

La traduction de type linguistique -Transcodage ( la traduction qui fait intervenir seulement des connaissances linguistiques )

-Déverbalisation ( se rapporte au faits que l’on ne traduit pas des mots et des syntagmes donc on ne traduit pas de la langue mais on traduit aussi en fonction du context et de le situation donc des actes de parole )

Les limites du model linguistique de la traduction

A partir des année `80 on s’est progressivement rendu compte que traduire ne se limite pas à une affaire de corespondance et d’étude linguistique et qu’elle implique aussi acquérir et emmagasiner des connaissances sous une forme nonverbal. C’est ainsi qu’on ce reposé dans un cadre nouveau la question de la place de la traductologie par raport à la linguistique.

La linguistique structurale-La linguistique du XIX siècle était essentiellement historique et à ce titre elle s’intéresse peu à la traductologie. La situation va changer au XX siècle car la linguistique structurale issue de la linguistique saussurienne est synchronique, descriptive et compensative et elle exerce une grande influence penolaut plus d’un demi-siècle sui de nombreuse autres disciplines parmi lesquelles les études de la traduction. Saussure voit dans les langues des systèmes à l’intérieure des quelles un signe ne prend sa signification que par rapport aux autres signes de la langue. Les signes linguistiques ont une valeur , et les singes des différent systèmes ont une valeur différent. Ainsi le signe mouton eu français a un valeur qui ne correspond pas en anglais ni a sheep ni a mutton mais plutôt à la somme des 2 puisque français peut avoir des a ou tous doucis souci qu’un anglais verra des sheep dans un prédit du mutton.

La différence des valeurs d’un signe expliquerait ainsi que la traduction des mots et en conséquence la traduction des langues représente une tache impossible.

La traduction linguistique on transcodage ne fait intervenir que des connaissances linguistiques indépendantes de toute référence à la réalité. Le niveau parole représente une étape supérieure pour la traduction car étant inclus dans un contexte les mots perdent une partie de leur potentielle sémantique et restent active seulement la partie de sens qui a une valeur dans le contexte ou foutions le mot en question.

Parmi les structuralistes traitant les traduction , il faut mentionner Georges Mounin dont l’ouvrage intitulé « Les problèmes théoriques de la traduction », a longtemps fait l’auteur. Pour Mounin, traduire est un contact entre les langues et la traduction est une opération de type linguistique. C’est pourquoi il arrive d’un certain texte théorique à affirmer que les différences de structure entre les langues entraineraient leur intraduisibilite. Cette affirmation ne se justifie pas dans la mesure ou nous ne traduisons pas des langues ni de textes.

Roman Jacobson (« One linguistic aspect of translations ») se situe dans une optique linguistique de la traduction, en affirmant dans cet article qu’un des problemes de la traduction est que « les langues différent en ce qu’elles doivent transmettre et non en ce qu’elles peuvent transmettre ». Pour démontrer cette difficulté, Jacobson isole le mot anglais worker qui désigne aussi bien « un ouvrier » que « ouvrier » et il déclare qu’il est intraduisible en russe où l’on doit obligatoirement marquer le genre(rabotnik,-ţa).

Bien qu’il déclare aussi que la traduction consiste à établir 2 messages équivalents en 2 codes différents , il situe comme Mounin certains aspects de la traduction au niveau des éléments linguistiques , oubliant que dans un texte on saurait de quel « worker » il s’agit et on exprimerait par une désignation appropriée la personne en course.

Une célèbre controverse a oppose B. Russel , controverse qui démontre la confusion entre le niveau de la langue et celui de texte : selon Russel , personne ne pourrait comprendre la signification du mot « cheese » sans connaître la signification attribuée à ce mot dans le code lexical de l’anglais. La théorie interprétative de la traduction établit un différence fondamental entre la signification linguistique d’un mot et le sens qu’il désigne dans un texte. Selon la controverse entre ces 2 savants, on peut se demander , dans le plan traductologique , si la traduction consiste à traduire les significations lexicales et grammaticales d’une langue comme l’affirme Jacobson, ou au contraire si elle ne doit pas faire comprendre selon les modèles d’expression de la langue d’arrivée , la chose désignée comme le souligne Russel. La théorie interprétative de la traduction postule que ces sont les désignations des choses qui doivent être reexprimées. La traduction doit faire comprendre ce que c’est un fromage par un/ plusieurs mots appropriés à la chose, même si ceci ne correspond pas obligatoirement à un mot donne de l’autre langue.

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Domeniu:
Franceză
Predat:
la facultate
Materie:
Franceză
Profesorului:
Magda Jeanrenaud
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